Innocent MIKU

• NOM : Miku. • PRÉNOM : Innocent. • AGE : 21 ans. • SEXE: Masculin. • SEXUALITÉ : Bisexuel. • GROUPE: Casper.

Description physique et caractère du personnage

• Le physique : 15 lignes word environ Suite à une description caractérielle, je suis contraint de me présenter sous mon physique qui n’a rien de bien original, voir même qu’il est anodin. Par règles générales, je vais me décrire de haut en bas…C’est à se demande qui donc à put fixer de telles règles que pratiquement tout le monde applique inconsciemment. Que dire ? Que je possède une chevelure quotidiennement lavées au shampoing Schwarzkopf ? Oui je sais, je précise ma marque de shampoing et pourtant, ce n’est qu’un mince détail sans la moindre importance. Outre cela, je poursuis. De quelle couleur est ma chevelure ? Quel dilemme que relève cette question…Sont-ils brun clair, châtain ou bien roux ? Le premier qui me traite de roux, je l’écrase. Celui ou celle prétendant qu’ils sont bruns clairs se verront subir mon courroux ; je ne me suis pas fais une teinture pour que l’on se trompe sur la réelle couleur de mes cheveux ! Mes cheveux sont bien entendu châtain est d’une texture de soie si ce n’est de cachemire ; non la soie est bien plus douce. Comme je le disais précédemment ; je prends soin de ma chevelure que cela soit pour la laver, la brosser ou bien l’affubler d’accessoire. Commençant le haut de son crâne, dans un sillon formé en zigzag, et finissant dans ma nuque lorsqu’ils ne sont pas attachés ; mes cheveux sont la plupart du temps en épis quoique que je possède généralement une franche du côté gauche de mon crâne, ma gauche hein. Bien que parfois elle est plutôt centrée sur le milieu de mon front mais passons, ce n’est guère intéressant ! Par la suite, je suis blême par nature britannique ; c’est pourquoi que cette peau blanche se marie à merveille avec ma couleur de cheveux. Autrefois, les critères de la beauté se définissaient par le fait d’avoir un double menton, d’être maigre et d’avoir la peau extrêmement blanche. Comme quoi, j’aurais été bien beau à cette époque là…Hélas les époques changent sans réellement diverger pour autant. Passons, on va finir la description de ma tête en quelques détails insignifiants, grotesques ; comme par exemple mon nez qui me complexe puisque je le trouve trop gros. De quelle couleur sont mes yeux ? Bleu ou bien noir ? Pour ma part je dirai entre le bleu et le noir, turquoise sombre mais cela a très peu d’importance. Pour finir sur quelques points de mon visage, je porte un piercing à la lèvre ; en tout j’en porte quatre ; ainsi que des boucles d’oreilles. Pour passer à ma morphologie ; je suis dans les normes de la société anglaise tout comme japonaise, je suis maigre et presque grand…Tant que je ne puis ressembler à une asperge cela me convient tout à faire ! J’aime peindre mes doigts de quelconque vernis bas de gamme tant que cela peut leur donner une allure rien qu’un peu moins anodine afin de me différencier des autres résidents ; j’aime être original. Pour en finir, je passe à ma garde-robe qui est très étanche bien que l’on me voit généralement comme un garçon simplet qui porte chaque jour la même chemise noir. Non, je suis loin d’être ainsi ! J’aime m’accoutrer de diverses tenues que seuls les anciens porteraient ou même les personnages de manga ; oui j’aime ce type de lecture et alors ? uwu…Qu’est ce que je lis ? Cela ne vous regarde point ! Afin de rester dans le contexte du vestimentaire ; je me vêtis de tout et n’importe quoi en sachant que mes tenues frôle parfois le travestit si ce n’est l’efféminé. Plusieurs hauts, des tee-shirt sous des chemises, sous des vestons sous des manteaux avec n’importe quel type de coiffe ainsi que de nombreux accessoire ; je suis quelqu’un de très original en ce qui concerne le vestimentaire mais contrairement à la croyance populaire ; je suis en froid avec la mode ! J’ai horreur de cette dernière, ce n’est qu’un commandement sur sa façon de se vêtir ; autrement dit on est privé de cette liberté de pouvoir choisir son propre style et ses propres habits mais passons ; la mode est souvent américaine chose que je ne peux accepter puisque je suis aussi en froid avec ce pays pour des raisons personnelles. Lesquels ? Vous n’avez qu’à m’approcher pour connaître ce détail là ; bien que vous oubliez une chose avec cela…Si vous m’approchez, je vous mords !

• Le caractère : 15 lignes word environ Comment diable suis-je ? Quelle question peu anodine dont je suis confronté…Pourquoi donc tins-je un registre de langue ? Tout simplement parce que ma très chère famille m’a poussé à cela tout au long de ma prime enfance ; elle souhaitait faire de moi en jeune anglais exemplaire et non un ludique japonais que haïssait mon père. Passons, là n’est pas le sujet, n’est pas la question. Vous souhaitez faire plus ample connaissance, m’aborder ? Fatale erreur, je n’aime que l’on m’approche de trop près ni même de loin. La distance respectable avec mon humble personne serait d’être hors de ma vue ainsi que hors de ma portée ; des gifles se perdent facilement. Au diable les manières d’approche, vaut mieux être distant et froid plutôt qu’imbécile et populaire ; je n’aime pas le monde et en réciproque, le monde ne m’aime pas. Serais-ce de l’agoraphobie ? Peut-être bien, cela expliquerait pourquoi j’ai souhaité m’enfermer en résidence au lieu qu’en appartement où je serai contraint d’être au minimum sociable ; mais où est la différence me direz-vous. La résidence a ses avantages, je suis dans une vulgaire chambre et outre le brouhaha des autres résidents ; cette dernière est imperméable à tout soucis. Non, je ne suis pas que distant et associable ; je suis aussi antipathique. Approches-toi à tes risques et dépends de ma personne et tu te feras mordre en pleine dent ! Non, non ce n’est pas une image au figuré mais bel et bien une image au propre ; je compte réellement mordre la première personne m’approchant ! Hormis si c’est une femme, par nature gentleman je me devrai de m’écarter afin que cette dernière abandonne tout désir de m’aborder qui seront vain. Je n’aime pas que l’on m’approche lorsque le chagrin me gagne au point que je ne puisse retenir mes larmes, quelle honte…Que personne ne voit en pleur sinon je ne pourrai ménager mes nerfs et à ce moment là, au diable les manières ! Outre cela, je suis quelqu’un de lunatique ; toujours à avoir les pensées perdus dans le firmament et la tête dans les nuages ; confus et songeur à des machinations sans noms. Des rêves, des cauchemars, des desseins, des envies…Je pense à tout et à rien sans même me demander pourquoi ni comment je me pose tant de question sans réponse. Par d’ailleurs, garde au malheureux qui viendrait me déranger durant mon laps instant de méditation ! Je suis comme un somnambule, si jamais quelqu’un à le malheur de me réveiller ; il en subira les conséquences et les séquelles ne sont agréables à subir. Vaut mieux alors me laisser dans mon coin désertique à vagabonder dans des songes inouïes qui mèneront sans doute à une peine grandissante ; à une peine me donnant cette brûlante envie, cette envie ardente de traduire mes peines par un simple chant. Enfant, j’avais toujours voulu que ma mère me chante une berceuse ; hélas…Passons. Si nous résumons, je suis lunatique, antipathique, froid, distance, associable, colérique, violent, mélancolique…Que dire de plus sur mon compte ? Hun…Que je suis une personne possédant une maladie innée ; je suis en proie à une jalousie maladive lorsque quelqu’un montre bien plus de talent que ma propre personne ou bien plus…Pour finir avec cette brève description de ma personne ; je suis quelqu’un d’extrêmement exigeant en ce qui concerne mon délicat palais et plus particulièrement quelqu’un de très gourmand. Qu’est ce que j’aime ? Les pâtes ; les pommes d’amour ; le caramel ; les barbapapas ; les hamburgers ; les hots-dogs ; les brochettes de saumon au soja et bien plus…Si vous souhaitez découvrir bien plus sur moi , vous n’avez qu’à le découvrir vous-même tout de même !

Once upon a time . . . ~

• L'histoire : 25 lignes word environ ; Mon passé ? Pourquoi diable devrais-je vous conter cette époque effroyable dont je souhaiterai enterrer les démons qui m’en tiraille ? C’est obligatoire afin d’entrer en la résidence ? Soit ; que cela en soit fait ainsi…Je vais donc vous contez, à contrecœur, le commencement ; tout a un commencement n’est-il pas ? Et même la fin ; le commencement de la fin étant traduit par ma naissance…Mon père répond au nom de Vincent Walker Cloud ; possesseur de l’une des plus importantes fabrique de feu artifice de toutes l’Angleterre. Des feux artifices anglais ; c’est peu anodin me direz-vous mais étant de meilleur marché sans compter la main d’œuvre asiatique qui assiste mon père dans ses usines et les frais de destinateur peu élevé ; mon père s’est fait une fortune en un rien de temps et a gravé le nom Cloud dans les tableaux d’honneur de l’archipel britannique. Vincent ; pour changer du nom de père ; était âgé à cette époque là d’une vingtaine d’année seulement et qui pourtant s’avérer aussi ingénieux qu’un homme de cinquante ; bien entendu la valeur humaine n’atteint pas le nombre des années me direz-vous. Est c’est à partir de ce jour funeste que tout commença… « Monsieur ; une lettre vient d’arriver. Souhaitez-vous la consulter ? » À qui donc appartient cette voix si attrayante, si doucereuse ? Tout simplement à cette ravissante jeune femme accoutrée d’une robe datant d’un siècle passé ; d’origine anglaise bien entendu. Cette jeune femme répondait au nom de Mina ; sans nom éventuellement ; et avait été à cette époque là la domestique de mon père qui s’était payé ce luxe là ainsi qu’un somptueux manoir appartenant à un ancien aristocrate ayant lui-même trépassé il y a quelques siècles de cela. Mina peiné a avancé malgré les ordres donnés par mon père qui exigée que cette dernière se tienne droite toujours en sa présence, qu’elle soit irréprochable en ce qui concerne son service et qu’elle ne plaigne en aucun cas ! D’après lui ; elle devrait lui baiser les pieds pour lui avoir donné du travail…Passons. Mon père ne fit qu’un banal hochement de tête en guise de réponse, bien trop absorbé par la lecture de son journal tandis que la jeune femme peiné a avancer tout en tenant un plateau d’argent sur lequel tenait une lettre dont l’enveloppe écarlate resplendissait ; jusqu’à que mon père pose ses doigts gras et souillé sur le papier vierge. Grognant comme d’accoutumée afin de faire comprendre de sortir hors de la pièce ; il attendit que cette dernière sorte avant d’ouvrir la lettre. Sincère salutation Monsieur Cloud. Je vous écris ici là ces quelques mots afin de faire comprendre ma colère. Votre exploitation d’esclave asiatique est scandaleuse et se doit de cesser. C’est pourquoi que je me suis permis de l’arrêter directement à la source ; fermant votre usine. J’ai de quoi vous faire arrêtez par les autorités. Pardonnez mon franc français ; étant moi-même asiatique j’ai quelque peu du mal à maitriser votre langue. Cordialement ; Aiko Miku. …Il en fallait peu pour mettre mon père hors de lui et cette lettre suffit pour le faire bondir hors du fauteuil et allait chercher la fauteuse de trouble à la source. Enfilant en vitesse son manteau, il s’en alla rageux à l’usine qui s’avéra comme dite fermée avec plus d’une centaine d’asiatique se trouvant devant la porte ; visiblement enragé eux aussi…Cela ne pouvait que faire des étincelles si je puis me permettre. Qui donc était cette jeune Aiko ? Ma mère…Oui, deux personnes qui se détestent vont concevoir un enfant ; surfait n’est-il pas ? Vous allez comprendre comment…Sans détail salace bien entendu. « Puis-je savoir pourquoi diable avez-vous arrêté cette fabrique ? Mes dossiers sont en ordres ; je peux porter plainte si vous ne cessez pas immédiatement et sachez Madame ; que la tour de Londres n’est pas aussi confortable que l’on puisse croire ! Je compte vous faire enfermer là ! » Oui, vous avez sans doute remarqué que mon père m’a fait héritage de sa colère légendaire ainsi, si je puis me permettre d’être vulgaire, de sa grande gueule mais poursuivons, ce n’était qu’une courte parenthèse. « Sachez mon bon Monsieur que j’ai réuni des avocats qui stipule ici-bas qu’il est contraint d’engager des esclaves pour une fabrication quelconque. » Maigre sourire nargueur « Oh my god ! Il y a bien pire en Asie ainsi qu’un Inde et c’est moi que l’on compte arrêter ! Officier ! Faites déguerpir ces gêneurs hors de ma vue ! » Oui, il n’était bien entendu pas venu seul et en rien de temps, si ce n’est dans un claquement de doigt, toute la foule fut dispersée à coup de bombe lacrymogène ainsi qu’à coup de matraque ; la jeune Aiko étant embarqué au poste de police en ayant à peine le temps de dire à mon père d’un ton provocateur. « La liberté a son prix et je la ferai payer de votre sang ! Et pour votre information, c’est Mademoiselle ! » Ce fut ses derniers mots avant d’être embarqué au poste de police alors que mon père se contenta de rester perplexe ; indifférent et pourtant confus en son antérieur ; qu’est –ce donc qui avait créé cette confusion ? Etait-ce l’agitation, l’irritation, la déception ?...Non, c’était une chose bien plus moelleuse, écœurante ainsi qu’éphémère…L’amour. Rien que d’attendre ce mot, l’envie de dégurgiter mon dîner me prend ; les hauts de cœurs étant hélas incontrôlables. Toutefois, je serai me contrôler durant mon court récit qui va toucher fin lors de ma naissance…Qui va arriver bientôt…Du moins, passons à la conception…Mon père ne pouvait effacer cette dénommé Aiko de ses songes, elle venait l’harceler même dans ses rêves sans lui laisser le moindre répit et il dû en ce cas là de revoir cette ravissante créature qu’allait devenir ma mère. Vincent renonça à toute poursuite contre la jeune Aiko, chose qui attira les mauvaises langues avec stupeur ; toutefois ces langues peu scrupuleuses. Comment donc Aiko réagit, elle fut toute aussi choquée et encore plus lorsque Vincent lui avoua un amour envers elle ; un amour malheureusement non réciproque et ceci anéantit le malheureux Vincent…Sous un amour brisé ; sous le désespoir et sous la rage ; des agissements peu réfléchit peuvent être réalisé. Aiko fut enlevé un soir alors qu’elle avait élu domicile à un hôtel le temps qu’elle puisse retourner dans sa mère patrie, le Japon. Lorsqu’elle se réveilla ; la jeune femme était attaché dans les caves de la demeure alors que le Vincent la supplia non de l’épouser mais de l’aimer ; certes elle fut touché mais elle ne pouvait se résoudre à aimer un esclavagiste et d’autant plus si c’est un amour forcé…Chaque jour, mon père la suppliait, l’implorait mais en vain. Mina prenait soin de la jeune femme en la coiffant, l’habillant et la faisant manger et c’est un jour ; bien des mois depuis son arrivé en lieu décrépit… « Vous savez mademoiselle Aiko ; Vincent se peut d’être un bon amant. Certes, il est quelque peu brutal mais il n’en manque pas en amour. » La servante brossé les longs cheveux de ma demoiselle d’un noir ébène bien rare pour cette noirceur semblable à la soie du firmament. La jeune femme était assise sur un tabouret usé sous l’effet du temps ; impassible, indifférente si ce n’est anéantit. Curieusement, elle venait caresser son ventre par moment avant de fermer un instant ses yeux bleu. « Mina…Je ne peux me résoudre à l’aimer…Et je ne peux me résoudre à savoir que c’est cet énergumène qui compte éduquer mon enfant… » Son enfant… ? Vous l’aurez compris, cet enfant dont elle parle, c’est moi. Mon père ne put résister à cette envie bestiale de copuler et de concevoir ainsi un nouvel être né non d’amour mais de haine, n’est-ce pas tragique ? Mina resta en froid tout en continuant de passer le peigne dans les doucereux et soyeux jeunes de la jeune femme ; perplexe et voir même songeuse envers l’avenir de cet enfant qui grandira dans un foyer de mépris. Subitement, elle fut pris d’une question qui semblait pourtant sans intérêt mais qui lui donnait cette envie, ce désir ardent d’oser prononcer ses mots hors de sa bouche jusqu’à que l’attente de ce désir ne se puisse plus et que ses dires furent prononcer par sa voix cristalline. « Mademoiselle… »Prenant un instant de répit. »…Comment comptez-vous nommer l’enfant ? » Elle se préoccupé de mon prénom…Curieux n’est-il pas ? Une servante ne devait-elle pas se préoccuper avant tout de son travail ainsi que de sa tenue lorsqu’elle est en service ? Bien entendu, c’est mon père qui m’a toujours dit cela et en vu de son passé, mon père ne peut qu’être une personne mesquine dont les paroles ne sont que venins dont nous devons nous protéger ; si par malheur ce n’est pas le cas…Alors vous deviendrez comme moi. « Mina… » Susurra t-elle avant d’afficher avant d’afficher une maigre esquisse. « Mon enfant se nommera… » « Innocent ! Revient ici immédiatement ! » Dit la malheureuse Mina qui courait après un bambin survolté. Cela fait déjà depuis quatre ans que je suis né et qu’hélas, ma pauvre mère est morte lors de l’accouchement ; Mina l’ayant put la sauver tout comme mon père qui se réjouit d’avoir eut un beau petit garçon avec un prénom anglais bien qu’une chose vint le couper dans son élan de joie…Des traits asiatiques…Mon père déteste les asiatiques et ceci lui a fallut pour me détester à moi aussi, son propre fils. Mon père n’avait guère voulu se faire siffler par le peuple britannique tout comme asiatique si jamais on apprenait qu’il avait mit enceinte une japonaise après tous ce qu’il c’était passé et c’est en conséquence qu’il n’appela aucune ambulance pour que je puisse naitre dans de bonne circonstance et que ma mère puisse continuer de vivre. Et pour les mêmes causes, j’eus les mêmes séquelles ; durant pratiquement toutes mon enfance ainsi que mon adolescence ; je fus enfermé dans le manoir sans même être reconnu comme étant le fils du dénommé Vincent ; je n’étais rien de plus qu’un étranger à ses yeux…Fort heureusement, Mina s’occupa de moi durant ma prime enfance et pris en charge mon éducation ; mon père ayant renoncé à tout lien de sang avec ma personne bien qu’il reconnu sa paternité une fois Mina ayant elle aussi trépassé...Comment ? Avez-vous déjà vu le traitement que réservé mon père aux domestiques ? Non…Mon père la battait au moindre faux gestes jusqu’à lui crever les yeux pour l’avoir fixer à un mauvais moment ; la pauvre n’en pouvait plus et au final elle finit par succomber de ses blessures ; sa dépouille ayant été jeté plus loin dans les bois entourant le manoir.Mon éducation fut donc reprise en main par mon hypothétique père qui ne se gêna pas à me faire teindre un langage sophistique comme il l’exigeait, à m’apprendre les coutumes d’un jeune anglais et autrement d’un gentleman tout en m’apprenant l’importance des soirées mondaines bien qu’il avait honte de m’y amener. Il m’apprit les manières de vivre, tous ce qui pourrait faire de moi un parfait anglais malgré mes traits asiatiques ; fort hélas il n’hésita guère à me battre lors du moindre faux pas, de la moindre réflexion, et même pour le seul plaisir que créer la souffrance. Jusqu’à l’âge de sept ans je dû survivre à cela, non que cela aller arrêter immédiatement…Turbulent dans ma jeunesse, je me contrains de changer en une chose sans sentiment, sans ressentis, sans cœur…Une chose qui ne pourrait plus ressentir cette souffrance accoutumée. J’appris donc à vivre de la sorte ; ayant pour seule compagnie une sourie noire, de sexe masculin, que j’eu décidé de nommer David. Avec le temps, j’étudie la littérature ; la philosophie et tous ce qui s’en suivait afin que la honte de mon père envers moi puisse s’atténuée alors que la mienne envers lui ne faisait qu’augmenter. Ce gorille, j’aime la vision que j’ai envers mon père, essaya de noyer son chagrin et sa rage sous l’alcool ainsi que sous des catins purement excités par l’odeur de son argent ; son usine ayant tout de même poursuivit sa production. Avec le temps, tout cela l’a tué…Oui, encore une mort ; voilà en quoi se résume mon passé et voir même ma vie après tout, c’est logique et c’est dans les normes de l’humanité. Âgé de 19 ans, je fus contraint de quitter la demeure ; puisque je n’étais point reconnu comme l’héritier ; et je suis partit avec David au Japon, un pays ayant les mêmes traits que moi. Toutefois, en possession que de très peu de bien et de fortune, je dû trouver un lieu quelconque où loger et c’est uniquement en entendant un nom souffler de bouche à oreille que je me laissai tenter pour cette fameuse résidence Kohaku. Je m’inscris à cette dernière sous le nom de Innocent Miku, ayant pris le nom de ma mère que je chérissais bien que je ne l’eu jamais connu. Par d’ailleurs, je préfère que l’on me nomme Miku, c’est bien plus attrayant. Voilà comment j’ai emménagé et comment je me dû de m’habituer à cette curieuse langue qu’était le japonais ; aujourd’hui le méprise plus ou moins avec quelques difficultés puisque j’ai pris comme coutume ce même registre de langue que m’avait appris mon père. Certes, je ne l’aimais pas, je l’exécrais mais je fus éduquer de la sorte et c’est ainsi que je dois faire honneur à ma patrie bien qu’elle ne m’a jamais reconnu comme étant un de ses enfants. Bien, résidence Kohaku, résidents de cette dernière ; préparez-vous à subir la présence de l’illustre Innocent Miku et de David !

Le Prince / La Princesse derrière l'écran :3

• What's youreuh naïmeuh ?

C'est ce qui s'appelle parler anglais comme une vache espagnol. /OUT/ Je me prénomme....Parce que vous croyais réellement que je vais dévoiler mon prénom sur le net. +w+ Non, non; c'est confidentiel !

• Tu as quel âge ? éè

Vous voulez dire physiquement...? /CHUT/ Je compte; quatre ans de mentalité moins 20 de réfléxion, plus six d'âge....Cela fait combien?...Je me suis trompé dans les calcules...Je ne suis pas doué en mathématique, c'est ma bête noir...Bwa, j'ai quatorze ans et un appareil à mes dents! /OUT/

• Quelles sont tes impressions sur Kohaku ? ...
Mais nan, on va pas te frapper si tu réponds mal é_è ...

Curieusement, mon forum a exactement le même thème de début que le votre; en même temps il est vrai que le style et le code déjà installé étaient très attirant de vu. Sinon, je n'aurai pas d'avis précise de Kohaku. o//

• Vu que tu connais le règlement par coeur, tu me dis le mot magique qui permet de rentrer dans le royaume des sucreries ?

Code validé ...Je conteste! Je n'aime certes pas le sucre mais tout de même....Quoique, oui les bonbons ce n'est pas bon pour les dents. xwe

• Un petit commentaire ? ♥

Le rêve n'est rien de plus qu'un désir nommé mensonge. Prenez garde à vous, résident, le fantôme que je suis est venu vous hanter. o//

Welcome !

Bienvenue et bonne chance pour la fiche :3

Merci à vous toutes. o//

Benvenuto bambina!!

buona continuazione ;D

L'orthographe et l'écriture sont très bien soignées et l'histoire est cohérente (j'ai le même prénom que ta maman :3). Le code aussi est correct donc je te valide petit casper ! Bonne continuation et évite de mordre les gens quand même ... éwè

Bien, à présent, tu peux demander une chambre (je crois que c'est déjà fait), recenser ton avatar, faire une fiche de relations et t'amuser parmi nous ♥

THANK. o//
Et je ne mords que si on m'approche; rien de plus. D:
Et oui, j'ai déjà fais une demande de chambre; je fais de ce pas faire recenser mon avatar. ~~