ANTHONY JAY CLAYTON

• NOM : Clayton • PRÉNOM : Anthony Jay • AGE : 19 ans • SEXE: Masculin • SEXUALITÉ : Hétéro • GROUPE: Yakuza Team

Description physique et caractère du personnage

• Eh bien Tony est comme tout le monde, il a des cheveux, une peau, des yeux, un style bien à lui, un menton, une bouche, un nez, un corps, des muscles, des... tétons... Plus sérieusement commençons par le regarder de bas en haut. Un corps fin et élancé, grand, environ 1m86… Pour… hum… aller d’ici je dirais 79 kg. Fait tout d’os et de muscles, Tony a la carrure d’un bon sportif. Le genre qui court beaucoup, un boxeur dans l’âme plus qu'un joueur de foot comme l'aurait voulu son père. Avec tout ce sport il est donc d'une musculature fines mais puissante. Il est d'ailleurs très fier de son corps sachant qu'il fait beaucoup d'effet avec cet atout et sa belle gueule d'Italien. Il ne perd pas le nord le petit... Grand, on l’aura compris, Tony arbore une crinière brune, qui tire beaucoup sur le châtain en réalité. C’est tout à fait naturel pour un mélange entre Italien et Anglais. Une coiffure toujours mal coupé qui laisse à désirer mais donne un air désinvolte au jeune homme. Le regard neutre, pas froid, mais pas chaleureux non plu. Il faut dire que le garçon a perdu son âme. C'est surtout qu'il laisse toujours l’impression qu’on l’ennui royalement, même si parfois c’est loin d’être le cas. Ces deux prunelles marron, voir jaune, rappel un peu sa chevelure rebelle. C'est un regard sauvage, qui est empreint d'une douleur sans nom et plus profonde que l'océan. Il fait pensait a un animal indomptable, un étalon des plaine, un chien enrager qui en veux a la vie. Parlons de sa tenue, On ne peut pas dire qu'il soit plein de bonne manière. Toujours une cigarette à la bouche ou les mains dans les poches, regardant ailleurs quand on lui parle, à soupirer ou ronchonner… Bref, même s'il ne le fait pas exprès on a toujours l’impression que tout ce qu’il fait l’agace, il faut le connaître pour savoir qu’il est juste comme ça… c’est tout. Du moins il est devenu comme ça. Il peut aussi être passionné, ça arrive souvent quand on lui parle de boxe ou de motos d'ailleurs, il faut juste les bon sujet. Pour ce qui est de sa façon de s’habiller, c’est toujours un peu n'importe comment. A vrais dire il ne sait pas ce que c'est que des "vêtement". Le plus souvent il ce trimbale torse nue aimant l'aire qui glisse sur sa peau. C'est une manie étrange, mais il est ainsi, quand il a quelque chose sur le dos il finit toujours par le retiré et même parfois sans s’en rendre compte! Quand il prend la peine de s'habiller c'est avec des vêtement de marques, ceux que sa mère prend soins de lui acheter et de lui envoyer, a la mode Européenne, mais il n'est jamais très propre sur lui, c'est toujours prit en coup de vent au lever du lit sans regardé ce qu'il enfile. Parfois cela frise même le ridicule… vos peut être mieux qu'il ne s'habille pas pour finir. Bon bien sur quand il fait du sport il évite. De toute façon avec sa manie de nudiste ce qu'il porte ne reste jamais très longtemps sur son dos...

• Tony est un … garçon compliqué. Oh il n’a pas toujours était comme ça, non, non… Petit il était très simple, il courait partout et personne n’arrivait à l’arrêter, souriant et joyeux, voilà ce qui le caractérisait. Maintenant s’il court comme un dératé c’est qu’il a un problème… Enfin, ne soyons pas nostalgique ça ne nous aidera pas. Tony Jay Clayton, ou jeune homme de 19 ans qui a tout perdu lui qui est dans la fleur de l’âge. C'est un jeune homme impétueux qui est du genre à foncer tête baissé sans réfléchir et compte toujours sur sa meilleure arme: sa solide constitution physique. Ses paroles et ses actes sont souvent guidés par ses émotions du moment, mais il est de nature optimiste et enjoué contrairement à ce qu'on pourrait croire. Il est doté d'une volonté de fer, est très impulsif, colérique et voir même tête bruler. Il adore ce battre, c'est un de ses passetemps favori a vrais dire jeter ses poings sur ses adversaire avec vivacité et puissance. Quand il se bat il en rend autant qu'il en prend et il s’en fout s’il tome, il se relève toujours quoi qu'il arrive. Il n'est pas très susceptible mais il marche au sentiment, comme il ne réfléchit jamais c'est toujours son instinct qui parle et il se laisse facilement submerger. Paresseux, peut enthousiaste sur sa vie après ses études, il y a pourtant beaucoup de choses qui le passionnent. Il y a tout d'abord les motos, la vitesse, l'adrénaline. Il ne saurait vivre sans se faire des frayeurs, passer entre deux murs séparait que d'un mètre en allant à toute vitesse sur les trottoirs en évitant les piétons. Il est assez dangereux dans son genre et n’a pas peur de la douleur, non il la cherche même et joue avec. Toujours à prendre des risques, on croirait presque qu'il cherche à défier la mort et pas qu'un peut. Il est flemmard que lorsque ça n’a rien à voir avec le sport ou les chose qu'il aime il peut bien rester a dormir toute la journée. Pour ses passions il reste ensuite le sexe et la bagarre, mais sa on la déjà dit. En réalité tout est bon pour que son esprit s'évade et qu'il oublie cette douleurs en lui, tout est bon pour ce faire plus mal encore, souffrir et souffrir encore plus pour oublier les autre douleurs. Colérique, très irritable, un peu froid et asocial parfois il peut très bien être chaleureux et près a s’ouvrir à n'importe qui. C'est un garçon au multiples facettes qui est prêt à se plier en quatre quand il le faut, mais seulement quand il le faut et que c’est une bonne raison ! Ne lui demander pas pour autant d'être heureux, ça ce n'est plus possible, il se l'interdit même. Un peu soupe au lait sur les bords il est imprévisible et a un mal fout a accordé sa confiance. Pour finir sur Tony, ce qui le caractérise le mieux c’est son incapacité à réfléchir avant d’agir, son impulsivité. Ça le plonge souvent dans des ennuis qu’il aurait mieux valu éviter, mais qu'est-ce que vous voulez c'est une vrais tête bruler, un chien fou qu'on ne peut stopper. Familier avec tout le monde, sa peut choquer par fois car ça n'est pas le genre des Japonais, mais lui il se fiche pas mal règles de savoir vivre et sa même si c'est un British, du moins à moitié, de toute façon il n'a pas beaucoup de moral. A quoi ça peut bien servir ? Et puis quand on est à moitié Italiens et qu'on aime les filles la seul moral qu'on puisse avoir c'est d'être toujours beau. Heureusement c'est un gentleman, mais un gentleman macho. Un grand charmeur dans l'âme il faut dire cas lui tout seul il fait un mélange explosif de deux nations qui ont deux façon bien différente d'abordé l'amour... au fond lui ne sais pas ce qu'est l'amour, du moins pas vraiment mais il cour après et au final pourquoi pas? Ne soyez pas timide avec lui, une tape sur la tête et c’est fini ! Même s'il a l’air d’un gros dur il n’a encore jamais mangé personne, non… enfin… heu… fêtent attention quand même... Il est franc et un peu gueulard par fois, mais rien de bien grave car c'est quand il est énerver ou saoul qu'il devient comme ça. C'est vrais qu'il a cette façon de tout dire comme il le pense il n'a pas la langue dans sa poche et sa le met souvent dans des situations très délicate. En réalité personne ne sait trop comment le cerner car il peut un jour ne vouloir voir personne et le lendemain ne pas supporter la solitude. Bref ! Au final, il peut paraître égoïste, mais Tony ne cherche cas survivre. Avant il était très protecteur et généreux avec les autres, il a toujours eu ce caractère aventureux et ce besoin de faire des bêtises comme pour demander l'attention. Hors maintenant il n’a plus ceux à qui il crier de le regardé, aujourd'hui la haine et la douleur on remplacer cette joie enfantine. Du jour au lendemain tout c'est effondré et aujourd'hui il n'est plus que l'ombre de lui-même... C'est une bombe qui avance chaque minute vers une explosion toujours plus violente. Un animal sauvage qu'on a enfermé et qui ne demande qu'une chose, retrouvé la liberté et le plaisir de vivre.

Once upon a time . . . ~

• Au commencement il y eu la vie « Vous connaissez cet instant de votre vie où vous ne savez pas, vous êtes perdus et vous vous demandez "qu'est-ce que je fais ici ?" C'est vrai qu'est-ce qu'on fout sur cette putain de planète à la con? On doit faire comme les autres vivent et attendre la mort, cette vieille femme dont tout le monde a peur. Ca m’est arrivé aussi. A présent rien n'a plus d'importance car je sais que je ne suis rien sur cette terre, qu'une fourmi comme les autres que Dieu s'amuse à faire bruler avec sa loupe et ce salaud de soleil a la con. Comment j'en suis arrivé là ? Parfois je me le demande quand je revois le fil de ma vie. Je suis né un jour de mai, au printemps à Rome alors que mes parents faisaient un voyage se fut par pur hasard que je naquis dans la ville de l'amour. Ma mère étant Italienne se fut pour elle le plus grand des bonheurs et je fus accueilli dans une grande famille. J'avais déjà un frère Enzo, mon ainé, fils chéri et adoré de la famille. Je vécu quelques mois dans cette ville avant de repartir à Londres ; là où on habitait en réalité, car mon père était Anglais et ma mère a abandonné son pays pour lui. C'est ainsi que j’eus la double nationalité. Je grandis heureux dans une famille plutôt aisée, ma mère était femme au foyer, mon père avocat dans un cabinet moyen mais réputé de la capital. Une petite maison de quartier, un jardin, l'école. J'étais bien petit et je ne comprenais pas pourquoi on m'interdisait souvent de trop passer de temps avec Enzo, maman disait qu'il n'était pas comme moi et que jamais je ne devais penser qu'il était idiot, il était juste lent... juste lent. Mon père eu une promotion, il avait gagné un gros procès et pu rentrer dans un grand cabinet qui géré des affaires mondiales. Notre vie changea du tout au tout. L'argent, la gloire, leur famille rentra soudain dans un autre monde. Appartement en ville dans un quartier chic, des suites d'hôtel, des voyages à travers le monde, une école privé. Notre vie fut plus facile, on pouvait tout avoir mais notre père travaillait encore et encore et moi je suivais ma vie de mes petits yeux d'enfant. J'étais un petit garçon qui croquait la vie à pleine dents, j'aimais rire, j’aimais chanter, danser, j'étais super actif et ma mère me mit à faire de la boxe, du rugby et même du foot, pour mon père qui adorait ça. En réalité elle cherchait à ce que je ne sois jamais à la maison Enzo avait besoin de beaucoup d'attention et j'en prenais trop. J'avais 10 ans quand je compris un jour où on se moqua de mon frère à l'école. Enzo n'était pas comme tout le monde, c'était mon ainé mais j'étais plus mature que lui, je savais faire et dire des choses que lui à 12 ans ne savait pas faire. Enzo était un attardé mental, un jour où je l'ai demandé à ma mère elle me l’a avouée. Enzo ne dépasserait jamais le quotient intellectuel de ses 12 ans et il vivrait toujours ainsi. J'étais si triste, mais en regardant mon frère me sourire je compris que ça ne changerait rien, il était mon grand frère. • Quand Dieu créa la vie il ne pensa pas a tout. Alors ce fut cette vie que je vécu le collège. Je me bâter avec ces abrutie qui se croyait plus fort et grand que moi par ce qu'ils étaient née avec une cuillère en argent dans le cul et par ce que mon frère était handicaper. Combien de fois je me fis renvoyer? Combien de fois ma mère me cria dessus? Combien de fois mon père me dit que j'avais eu raison. Et Enzo, mon grand frère dont je m'occuper comme si c'était moi l'ainé, il s'excuser tout le temps à chaque seconde et je savais qu'il souffrait mais je ne pouvais rien faire. Est-ce que j'avais vraiment une vie au fond? Aller au collège, travailler, me battre avec ces connards, aller au club de boxe, rugby ou foot, je rentrait fatiguer mais je m'efforcer de faire travailler la lecture a Enzo avant d'aller me coucher oubliant mes devoirs. Ma vie n'était que faite de ça et je ne voyais pas mon enfance passer, je devais vivre pour mon frère et l'aidée. Ma mère faisait ce qu'elle pouvait mais voir son fils autant avancer que reculer, personne n'en voulant dans la société ou on vivait, mon père qui pensait nous donner la vie que tout le monde rêver. Vue de l'extérieur on aurait pu croire qu'on était heureux mais ça n'a jamais était le cas. • Puise que tu pars ... N'oublie pas ceux qui t'aime. Ce fut cet accident qui déclencha tout. Le vol Paris New-York qui finit dans l'Atlantique fut celui de mon père. Ce fut comme si mon monde s’effondrait. Ma mère veuve eux alors la responsabilité de deux enfant l'un malade mental et l'autre perdu dans ce monde. Elle dut s'occuper des funérailles toute seule, bien que notre famille soit venue et moi je devais m'occuper d'Enzo. Il demander toujours ou était papa, comment lui dire qu'il ne le révérait plus jamais? Pourtant il le fallait et je lui disais qu'il était partit au ciel que jamais il ne reviendrait et j'avais envie de pleuré quand Enzo demander si c'était de sa faute. J'avais si mal, le cœur ouvert mon frère me consoler sans même savoir pourquoi, pourtant il comprit bien à l'enterrement de papa était enfouit sous terre alors il se jeta sur la tombe et supplia papa de ne plus leur faire peur comme ça. Je fus incapable de faire quoi que ce soit... Le temps passa doucement, j’entrai au lycée alors que ma mère s'occuper encore d’Enzo. Seulement depuis un certain temps elle avait rencontré cette homme, un homme d’affaire américain qui avait même persuadé ma mère de me faire prendre Japonais en option au lycée par ce que c'était l'avenir du monde le marché asiatique. Qu'est-ce que j'en avais à foutre moi alors que ma vie était auprès de mon frère? Ma mère était complétement fasciné par cet homme à peine après un an de deuil. Il inviter notre mère a des soirées, des séjours dans le monde nous laissant seul alors qu’Enzo avait besoin d'elle. Cet homme fini par nous faire déménager au Etat Unis mais Enzo avait peur de lui et moi je ne l'aimer pas. Il n'était pas gentil avec mon frère dès que maman n'était plus là il le traité de débile, d'abrutie de déchet de la vie. C'était Enzo qui me le répété car il n'oser pas dire cela devant moi qui était plus grand que lui. J’avais beau vouloir ouvrir les yeux de ma mère elle finit par l'épousé aveuglé par son argent. Au lycée je devin du genre a ne pas travailler, j'en avais marre il fallait que ma mère finisse par se rendre compte de sa bêtise. Je buvais, fumer, j’emmerdai le monde, avec ma motos je faisais le con, je voulais qu'elle me regarde mais ce n'était plu ma mère c'était une garce avec le petit doigt en l'air elle qui venait d'un petit village Italien au bord de la Méditerrané. Alors je m’enfonçai plus encore dans la drogue la violence trouvant au final refuge dans cette destruction ce qui donna raison à cette grosse abrutie qui avait épousé ma mère. Je n'avais plus aucune influence, j'étais comme invisible et pour me faire taire on me donner de l'argent a en pleuvoir mais tout ce que je voulais c'était protégé Enzo, juste le protégé. • Le début de la fin. Alors ce gros riche d'américain fini par persuadé d’envoyé Enzo dans une "institution spécialisé". Tout le monde savait ce que ça voulait dire, il voulait s'en débarrasser car il le gêner et ma mère prenait tout son temps avec lui alors ça l'agacer le vieux. Je ne pouvais permettre qu'on envoie mon frère dans cet endroit où on le droguerait de médoc chaque jour où il ne serait plus qu’un légume capable à peine d’ouvrir la bouche pour manger. En réalité j'étais sûr que maman aller dire non, mais elle dit oui bien trop absorbé par sa nouvelle vie ou tout lui était plus facile, bien sûr sans Enzo sur les bras elle pourrait vivre sa vie de reine en haut de l'Empire State Building. Le jour où fut envoyer Enzo là-bas je fis tout pour les en empêcher, je gardé mon frère près de moi, je frapper tous ceux qui voulait le prendre et ça même si Enzo crié pour m'en empêcher. J’étais hors de moi, je ne savais qu'une chose : "ils n'auraient jamais mon frère!" Mais je ne pus rien faire contre cette horde de macaque. Ils le prirent en me maitrisant et je le vit dans cette voiture crié qu'il m'aimer alors que les larmes couler sur mes joues. Mon frère était partit et bien que ce porc avait choisi une institue ou les visite son interdite. Rien que cela aurait dû faire comprendre à ma mère que c'était un endroit pour se débarrasser d'eux tout en faisant croire que c'était légale et qu'on s'occuper bien d'eux, mais elle se mit à vouloirs que je vois un psy à me parler gentiment comme à un enfant de 5 ans et l'autre qui la ramener derrière. Je me mis alors debout et je le frappai encore et encore de toute mes force. Tout ça c'était de sa faute à ce gros connard de porc américain ! On dû l'amener à l’hôpital et dès qu'il put parler il dit a ma mère que j’étais dangereux, que la drogue, l'alcool et tout le reste m'avait rendu fou, et ma mère le crue. Pourtant elle ne voulut pas m'envoyer dans un centre de désintoxication, elle ne voulait pas croire que j’étais un droguer alors ce porc trouva un compromis et trouva une résidence au japon ou je pourrais finir mes études loin d'eux, et même de l'autre coter de la planète vue qu'ils déménager en Angleterre. C'est comme ça que je suis arrivé ici, je n’ai contre ce pays, mais c'est plutôt cette vie qui me fait chiez. Je n’ai plus rien si ce n'est du fric et un "nouveau départ" dans cette ville. Avec mon Japonais approximatif et mon mauvais gout pour le poisson je pense que ... Enfin voilas vous savez tout m'sieu, merci pour la ballade tenez un complément. » Tony sortit du taxi avant de prendre sa valise, ferma la porte de la voiture et leva les yeux vers la résidence où il aller vivre à présent. La voiture partit et après un long moment il traversa après s'être demandé ce qui lui avait pris de raconter tout ça a un étranger. Peut-être avait il eut besoin de vidé son sac, mais avec son japonais pas très bon le conducteur n'avait pas dû le comprendre, en plus le conducteur parlait Albanais alors il y avait beaucoup de chance pour qu'il n'est rien comprit. Au moins le chemin du l'aéroport jusque-là malgré les embouteillages n'avait pas était si long.

Le Prince / La Princesse derrière l'écran :3

• What's youreuh naïmeuh ? C'est top secret même la C.I.A le sais pas !!

• Tu as quel âge ? éè 17 patates y parait bien.

• Quelles sont tes impressions sur Kohaku ? ...
Mais nan, on va pas te frapper si tu réponds mal é_è ... Heu... mal? *ce protège le visage et les parties sensible*

• Vu que tu connais le règlement par coeur, tu me dis le mot magique qui permet de rentrer dans le royaume des sucreries ? Code validé 8D

• Un petit commentaire ? ♥Aime le panaché et le panaché t'aimera.

Welcoume ♥

Mais merci beauté ;D

Yooo. Bienvenue dans la résidence ! BG♥
J'ai parcouru vite fait la description physique parce que je passe en coup de vent é3è ~ Fiooou.
N'oublies pas le nom du groupe et de mettre en vert le titre de ta fiche quand tu l'auras terminée :3 Aussi, fais attention aux fautes d'orthographe, j'ai remarqué qu'il y en avait pas mal. ;w;

Sinon, j'espère que ton perso n'attrapera pas froid lorsqu'il se trimballera torse nu ~ ♥

Merci x3

Pour les fautes je vais tenté de relire tout ça et de faire de mon mieux (mais c'est pas gagner)
Et je réfléchit encore pour le groupe ^^"

Puis c'est un anglais il craint ni le froid ni la pluie ;D

Ok, ok. Prend ton temps :DD ~

Ils ont de la chance les anglais ;w; Je tombe tout le temps malade ... /pan/

Voilas fini ;D

J'ai corriger avec words j’espère que ça vas, je peut pas faire mieux je suis vraiment désoler. Dyslexie de merde -_-" je suis vraiment désoler...

Fallait le dire é3è Je comprends mieux ~
Donc, tout comme Tomo, n'hésite pas à te relire et à vérifier tes verbes :3
Je vais aussi corriger ta fiche, j'ai commencé d'ailleurs 8D (vénérez-moi ~)

Sinon, tout est ok. L'histoire est triste ;w; ... . Tu es à présent membre de la Team Takuza (trèsbonchoix), il ne te reste plus qu'à demander une chambre, faire une fiche de relation et à t'amuser dans la résidence ~